Selbstbezug, Selbsttranszendenz und die Nichtigkeit der Freiheit

Zur augustinischen Theorie des Bösen in 'De civitate Dei' XII

Le mal, pour Augustin, se trouve dans la rébellion de Lucifer, puis dans l'orgueil personnel et l'égoïsme radical de l'être. Reste à résoudre le problème ontologico-théologique de l'origine même du mal. Par une discussion sophistique, et en réaction contre le manichéisme, Augustin en vient à concevo...

Full description

Bibliographic Details
Author:Georg Kohler
Published: S.n., s.l., 1993
Volume:52
Pages:67-79
Periodical:Studia Philosophica
Format:Article
Topic:- Works > De civitate Dei > civ. Dei XII
- Doctrine > From man to God > Evil. Sin > Evil
Status:Needs Review
Description
Summary:Le mal, pour Augustin, se trouve dans la rébellion de Lucifer, puis dans l'orgueil personnel et l'égoïsme radical de l'être. Reste à résoudre le problème ontologico-théologique de l'origine même du mal. Par une discussion sophistique, et en réaction contre le manichéisme, Augustin en vient à concevoir l'inexistence du mal, sa non-substatialité. Le mal est donc un mouvement vers l'abîme de l'âme humaine elle-même.